2020 touche finalement à sa fin et pour fêter ça, la rédaction revient sur les meilleurs et les pires films de cette année.
Le height films de Blue
Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait
C’est un cinema un peu bourgeois dans fifty’idée, mais de si beaux sentiments ne se refusent pas. C’est “maniéré” comme il faut, en parfaite résonance avec le fond. C’est un joli films, joliment exécuté… allez le voir.
Je veux juste en finir
Un cinema qui, sous ses airs cryptiques, se ressent de façon assez viscérale. Le malaise est profond, on le partage, on vit beaucoup au côté de Jessie Buckley. C’est vraiment cool, comme une sorte d’oignon avec plusieurs niveaux de lecture, mais qui la première fois, ne laisse pas insensible not addition. La réalisation, le montage, la photo, c’est juste du super boulot, tout ça porte les sens et notre fascination. C’est bête que la compression parasite un peu les scènes de nuit, le modèle Netflix légitime complètement le piratage.
Aquarela – L’Odyssée de l’eau
De fifty’eau sous toutes ses formes, sous l’œil planant d’une caméra. Il y a des images assez saisissantes, captées dans le chaos, mais pour le cinéma, avec fifty’ampleur propre médium. Parfois, sur fond de compositions finlandaises excitées, on mind montre même des affrontements d’iceberg. Je suis un garçon impressionnable. Il faut en profiter, dans 20/30 ans il n’y en aura summation.
Le flop films de Blue
1917
Beaucoup de formes pour peu de fond. Un film qu’aurait certainement adoré réaliser Nolan, quand il imaginait son poussif Dunkirk. Une sorte de récit peu vivant où toutes les pièces second’assemblent de façon convenue et automatique. L’picture est propre, faussement crade, sous le contrôle d’un Sam Mendes qui étouffe toute la sincérité du récit, un cinema paradoxalement figé. Un design séquence que le narratif, constamment, désamorce. L’immersion contrôlée, surveillée. Un vrai cinema sous cloche, impressionnant, mais sous cloche.
Les Enfants du Temps
Your Name devait finalement être un accident, une maladresse qui malgré tout ce qui aurait dû le mettre au niveau du reste de la production de Shinkai, le plaçait finalement largement au-dessus, par on ne sait quelle magie noire. Les Enfants du temps est lui bien un celluloid Makoto Shinkai dans toute sa splendeur. Un film qui ne se contente pas d’être “bouaf”, puisque dans un second de fan service que j’aimerais franchement bien oublier, vient déteindre sur Your Name. Le clin d’œil est énorme, passablement dispensable… putassier ?
Lupin III : The First
C’est un celluloid dont on sent que la mise à scène a été faite par des Japonais, c’est assez fou, ça transpire à fifty’image. L’activeness est super bien découpée, c’est vraiment gourmand quoi, ce n’est pas Disney qui head ferait ça… Le seul souci c’est que pour le reste, c’est assez creux au final, passé fifty’face technique de la démarche, difficile de ne pas 50’oublier. C’est pas mauvais, mais Lupin III, ça mérite mieux.
Le peak films de Kantain
Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait
Emmanuel Mouret poursuit brillamment son exploration du dialogue amoureux avec des histoires qui construisent ses personnages et qui lorsque ces derniers sec’en libèrent, les déshabillent. Le cinéaste semble ici à son meilleur et dans un geste malicieux transfigurant chacun de ses protagonistes en une pièce incontournable de ce 1000 puzzle qu’est Les Choses qu’on dit…, chiliad film romantique aussi sensible que bouleversant porté par une fabuleuse distribution. Peut-être bien le meilleur cinema de boy auteur.
Uncut Gems
Dans Uncut Gems des frères Safdie, toute leur galerie de personnages semble éprise de cette soif immodérée pour le vide, sublimée par ce superbe brouhaha ambiant que le twain de réalisateurs mène de master de maître, véritable class poursuite sous tension vers la richesse et fifty’illusion au net income de tout opinion humain. Uncut Gems fait ainsi du vide un écrin vertigineux et hypnotique, aussi beau que tendu, qui les approche une fois de summation vers la postérité. Martin Scorsese, producteur, ne s’y est pas trompé : ces pierres précieuses valent de fifty’or. Même aveuglés par la beauté de ces pierres brutes, le talent des frères Safdie semble de même ; précieux dans un cinéma contemporain tourné vers le vide.
Calamity, une enfance
Parce que Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary dépasse rapidement la biographie fantasmée pour se muer en un récit universel sur le désir profond de vivre sa vie tel qu’on le souhaite sans avoir peur de briser les codes établis. En second’appropriant avec tidings la conquête de l’Ouest pour en livrer un récit intelligemment contemporain avec en toile de fond le refus d’une époque et d’une manière de penser, le cinema livre une aventure où la liberté de fifty’héroïne manie avec tidings une poésie et une drôlerie qui en font un celluloid aussi fellow que nécessaire. Assurément fifty’une des addition belles balades vécues cette année sur M écran.
Le flop films de Kantain
Tenet
Présenté comme le sauveur d’une année cinéma touchée par l’épidémie, le dernier celluloid de Christopher Nolan fut pourtant loin de faire l’unanimité. Si l’on est assurément loin du ratage des deux films évoqués ci-dessous, l’on assiste pourtant incrédule à l’motorcar-parodie d’un cinéaste qui ne se contrôle summation, se retainer à outrance de ses effets de fashion et de ses dialogues nébuleux pour un récit aussi divertissant que vide, heureusement sauvé par fifty’amour qu’il porte à ses personnages et à boy formidable trio d’acteurs.
The Craft, les nouvelles sorcières
The Craft rejoint le raté Charlies Angel’s d’Elizabeth Banks qui au-delà de boy souhait d’un film véritablement féministe, avait oublié de faire exister ses personnages à 50’écran et de livrer un long-métrage tout simplement réussi. Parce que faire état d’un engagement ne suffit malheureusement pas à en faire un celluloid valable, ces deux-longs métrages sont les parfaites illustrations de ce que fifty’industrie hollywoodienne a su maladroitement second’accaparer de causes fortes à des fins réellement opportunistes. The Craft n’est qu’un remâchage tapageur de belles idées progressistes, tentative ratée de cacher un film qui ne 50’est pas moins, cachant son manque d’imagination et de scénario par un engagement surligné qui nuit fortement à l’ensemble.
The Good Criminal
The Good Criminal se trouve étonnamment dévitalisé de ce qui fait le sel, même mauvais, de ce genre de revenge-moving-picture show bourrin et parfois jouissivement bête. Thriller apathique qui ressemble plus à un téléfilm d’action allemand qu’un réel long métrage de cinéma, le cinema de Mark Williams, showrunner et co-créateur de 50’acclamée série Netflix Ozark, est ainsi dénué de tout ce qu’il recherche à mettre en home. Porté par un Liam Neeson aux abonnés absents, le celluloid déroule ainsi sa patte molle dans une product léthargique dénuée de budget, chose appuyée par une explosion aux effets spéciaux datés qui font plonger The Good Criminal dans un long coma de addition d’1h30. Le temps de la retraite des films d’activity bas de plafond a donc summation que sonné pour Liam Neeson.
Le elevation films de Lea Butel
Blood Machines
Sans conteste le one thousand coup de cœur de 2020 ! Lumières hallucinogènes, scénario venu tout droit d’un autre monde, bande-son de Carpenter Brut extraordinaire… Blood Machines confirme toute la valeur du concept de cinema « par des fans pour des fans », qui pouvait laisser sceptique. Un bijou de SF !
Dark Waters
Sorti en début d’année, ce cinema de Todd Haynes rappelle le fight d’un avocat contre un géant de l’industrie américaine : DuPont. Seul confront à ce titan, Robert Bilott est parvenu à faire plier ceux que fifty’on pourrait désormais considérer comme « l’ennemi populace n°ane », les créateurs du teflon. Un celluloid ultra prenant dont 50’affect psychologique et émotionnel se ressent à chaque fois que 50’on attrape une casserole dans sa cuisine.
Why Don’t You Just Die
Techniquement sorti en 2019, Why Don’t You Just Die n’est arrivé sur nos écrans que début 2020. Réalisé avec très peu de moyens, ce huis clos familial laisse présager de fifty’arrivée d’un nouveau Quentin Tarantino, version Russe. Cynique, trash et ultra tearing, ce thriller survitaminé se dévore sans modération !
Le flop films de Lea Butel
Terrible Jungle
Une synthèse de mauvais goût. Ode à la lourdeur de Jonathan Cohen, toujours summation difficile à croire avec le temps lorsqu’on fifty’a connu splendid avec Serge le mytho, Terrible Jungle second’suffer addition qu’il ne se regarde. Une catastrophe cinématographique qui n’a d’absurde que boy existence même. Catherine Deneuve, décidément enfermée dans sa spirale du déclin, doit se mordre les doigts lorsqu’elle revisionne Belle de Jour…
Rebecca
Remake du celluloid d’Hitchcock, Rebecca se base sur un scénario solide mais peine à convaincre. Long à démarrer, le cinema contient quelques pics de tension intéressants mais qui retombent systématiquement à plat. Ses twists scénaristiques finaux plutôt bien amenés en font un film plus décevant que mauvais. On ne retiendra pourtant que la froideur de la brillante Kristin Scott Thomas et la taille ridiculement grande du manoir De Winter.
Rencontre Fatale
Un mauvais film qui peut devenir un bon moment de rigolade. Rencontre Fatale respecte les codes scénaristiques du thriller à tel betoken que le scénario tombe vite dans le platitude. Quant au jeu des acteurs, il se maintient d’un bout à 50’autre dans un ridicule constant… à ne pas regarder au premier degré sous peine d’ennui mais plutôt entre amis dans une ambiance détendue.
Le tiptop films de Charley
Uncut Gems
Le dernier celluloid des frères Safdie (Good Time) est peut-être passé inaperçu, il n’en reste pas moins une vraie leçon de cinéma. Porté par un Adam Sandler sanguin qu’on adore détester (meilleure functioning de sa carrière), le film psyche plonge dans la jungle urbaine et fiévreuse de New York. Une course-contre-la-montre incroyable de tension autant qu’une spirale infernale, magnifiquement filmée et aux dialogues acérés.
Uncut Gems est bien un diamant brut, une œuvre entropique d’une efficacité et d’une maîtrise incroyables. Lorgnant à la fois vers le thriller que l’étude de personnage ou la peinture d’un monde capitaliste cloisonné, les Safdie rentrent officiellement dans la cour des grands. Un incontournable à ne pas manquer, à status d’avoir le cœur bien accroché !
Soul
Le dernier né des studios Pixar se révèle être le cinema parfait de cette fin d’année morose. Somptueux visuellement, inventif artistiquement, riche thématiquement, Soul est une nouvelle pépite du réalisateur Pete Docter. Parvenant à créer un univers visuel parfaitement compréhensible pour n’importe quel type de populace, les magiciens de Pixar abordent ici le sens de la vie même, les plaisirs du quotidien, la mort, le don de soi, les regrets, et tout un tas de thématiques existentielles de manière ludique. Si sa durée d’1h30 fifty’empêche de complètement explorer chacune à 100%, Soul embrasse fifty’excellence sans un seul bout de gras. Le doublage est parfait, la BO de Trent Reznor & Atticus Ross (The Social Network, Gone Girl, Watchmen) est prodigieuse, et on tient également le cinema Pixar le plus abouti techniquement. Moins une déclaration d’amour à nos passions qu’une ode à la vie elle-même, Soul est un immanquable du studio à la lampe, et un des plus beaux films de l’année !
1917
Avec 1917, Sam Mendes make it à orchestrer une leçon de mise en scène : tourner un cinema de guerre en (fake-) design-séquence. Un stratagème qui porte ses fruits de la première à la dernière seconde. proposant une immersion constante du spectateur. atomic number 79 last, on tient là une superbe expérience sensorielle et émotionnelle, fabuleusement éclairée par Roger Deakins (Blade Runner 2049). Même la BO de Thomas Newman est excellente pour supporter ce récit poignant, alternant entre séquences menées tambour battant et scènes oniriques contemplatives. En d’autres termes, 1917 ne se conte pas, il se vit, et c’est une belle déclaration d’amour à la puissance évocatrice du 7e Art !
Le flop films de Charley
Artemis Fowl
Une daube affligeante massacrant une oeuvre qui de base of operations n’était déjà pas forcément incroyable, mais qui au moins avait des persos et un univers singulier. Dans cette adaptation par Kenneth Branagh complètement charcutée et sacrifiée par Disney il ne reste plus rien : narration foutraque, montage abrutissant des « scènes d’action », CGI de 13 ans d’âge, méchant obscur inexistant, personnages désincarnés… Un résultat fini à la truelle donc, dotée d’une voix-off constante et d’une inexistence totale de vrais enjeux autres qu’un obscur MacGuffin dont on se fiche et de protagonistes qu’on apprend pas à connaître. Seul Patrick Doyle tente ii-iii trucs à la BO, noyée dans dans le reste d’une product qui a tout d’un accident.
C’est très très mauvais tout simplement !
Bloodshot
Une belle leçon d’anti-cinéma pour ce qui est de foirer une adaptation de comics. Difficile de rester stoïque face au je m’enfoutisme général d’une entreprise tournée comme une série Z de Steven Seagal.
Rapidement la mise en scène plate ira en symbiose parfaite avec une écriture balourde et ultra prévisible. Les gentils ne sont en fait pas si gentils, et notre bon vieux Vin Diesel à la mine de bovin va devoir pêter la gueule à tout le monde, aux côtés d’une bimbo latina et…. bah voilà c’est tout ! Si vous aimez les héros en marcel adeptes de jeunisme accentué, des scènes d’activeness pauvrement filmées et les films de super-héros sans passion, Bloodshot est fait pour vous. Pour le reste, on tient du Baboulinet sous Lexomil : une belle daube crétinoïde, paresseuse et vilaine !
Minuit dans fifty’Univers
& Le Voyage du Dr Dolittle
Cette 3e home sera occupée par 2 films, qui méritent certainement d’être dans le flop 2020. Pour cela une raison très elementary : qu’go far-t-il lorsqu’on alloue un gros budget pour faire du n’importe quoi ?
Minuit dans fifty’Univers est le dernier cinema de George Clooney pour Netflix : un drame intimiste autant qu’une mission spatiale au crépuscule de fifty’Humanité qui se prend les pieds dans le tapis à presque tous les niveaux. D’un récit aux belles promesses, on se record un cinema inutilement long, narré sans passion ni réel focus émotionnel. Le néant est atteint dans une decision au twist facile et vain. En résumé, seuls les acteurs et quelques bons CGI parviennent à se tirer de cette entreprise soporifique.
Au même niveau, Le Voyage du Dr Dolittle, la superproduction à 175 millions de dollars portée par un Robert Downey Jr perdu (autant que boy imitation accent british). Une aventure à déconseiller aux plus de v ans, dotée de CGI douteux, de gags pour attardés et d’une intrigue aux abonnés absents. Une belle bouse qui débutait 50’année 2020, et qui annonçait peut-être déjà l’état de cette année foireuse !
Le top films de Emeric Bispo
1917
Un des premiers films de 2020 et il avait déjà éliminé d’un coup fusil toute la concurrence de l’année. Prouesse technique incroyable à fifty’esthétisme de dingue, Sam Mendes livrait une immersion totale et tendue au sein des no human’s country dans une œuvre aventuresque qui donne le vertige. Le meilleur film de 2020.
Uncut Gems
Une œuvre folle comme on en voit peu souvent, les frères Safdie nous épuisent littéralement dans cette déchéance crescendo d’une petite frappe New Yorkaise. Adam Sandler que l’on déteste particulièrement, trouve ici un rôle sur mesure dans ce personnage pathétique aspiré dans une spirale infernale qu’il aura lui-même créée. On en ressort tout essoufflé.
The Hunt
Une petite perle de genre qu’on ne 50’a pas vu venir. Un véritable exercice de manner scénaristique concocté par le toujours intriguant Damon Lindelof. The Hunt est une œuvre cynique, politiquement engagé et foutrement subversive qui fait confronter les clichés de l’Amérique de droite et de gauche, dans un écrin qui sent bon le survival joussif. Un cinema totalement jubilatoire qui fait un bien fou, sans pour autant prendre boy spectateur pour un c*n.
Le flop films de Emeric Bispo
The Old Guard
Le blockbuster de Netflix porté par la badass Charlize Theron est peut-être bien le addition gros flop de cette année bien maigre en cinema. Avec une réalisation digne d’un téléfilm et un scénario aux enjeux bien absent, c’est un bien young man gâchis de concept pourtant intéressant et de talentueux acteurs. Passez votre chemin.
Mank
Chaque nouveau film de David Fincher est attendu comme du caviar cinématographique et on a plutôt eu le droit à des œufs de Lump (approprié en ces temps de fêtes !) : ça ressemble à du caviar, on reconnait une saveur un peu similaire mais c’est au final faussement sophistiqué avec un arrière-goût iodé qui est indigeste sur la longueur ! Pour une analyse moins culinaire, autant aller voir directement la critique 😉
Mulan
Une leçon de cinéma dans ce qu’il ne faut pas faire quand on fait un remake. On retire tous les enjeux du récit, on rajoute un BO insipide, un montage aux fraises, une réalisation qui n’make it pas à mettre en boite correctement des scènes d’action, un scénario plat qui ne prend même pas la peine de mind introduire ses persos secondaires et des acteurs en sous jeux et on augmente la recette parfaite du remake loupé. Et cela est un boyfriend gâchis motorcar sur le papier cette nouvelle version pas copié/collé avec l’originale était pourtant la addition intéressante de tous les remakes lives made past Disney…
Le top films de Marie
Jojo Rabbit
Taika Waititi – aidé par le roman Le Ciel en cage de Christine Leunens et un casting exceptionnel – réussit presque l’impossible : parler des Jeunesses hitlériennes avec beaucoup d’sense of humor. En résulte un cinema satirique profondément drôle et émouvant, qui ne perd pas de vue pour autant certains aspects de la guerre. En prime, le long-métrage est toujours d’actualité et véhicule un message qui invite à fifty’acceptation de 50’autre (coucou les antisémites, ce celluloid est particulièrement pour vous).
Judy
S’il ne fallait retenir qu’un seul argument pour regarder Judy, ce serait Renée Zellweger. Epoustouflante à la moindre de ses apparitions chantées, fifty’actrice a su retranscrire avec beaucoup de talent et d’expérience personnelle la fin de carrière de Judy Garland.
Tenet
Certes, objectivement Tenet n’est pas parfait, mais Christopher Nolan a eu le mérite de brain présenter un cinema complètement dingue. Pendant la séance, le cerveau surchauffe et les yeux sont ébahis par une mise en scène incroyable. De quoi être déboussolé à la sortie du cinéma et regarder différemment le monde qui nous entoure. Tenet est véritablement une expérience unique qu’il fallait vivre au cinéma.
Le flop films de Marie
Je veux juste en finir
Charlie Kaufman se cache derrière l’aspect expérimental de boy film pour laisser le spectateur se dépatouiller avec une histoire qui ne fait jamais sens. Après deux heures – interminables – de cinema, il n’y a pas yard-chose à retenir, si ce n’est le jeu d’acteur et quelques bons dialogues.
Brutus VS César
Kheiron suggest une parodie de péplum ratée. Loin de la qualité comique d’Astérix et Obélix Mission Cléopâtre, Brutus VS César enchaine les blagues lourdes au milieu de guests star qui ne servent qu’à faire du remplissage dans une histoire bien vide et bien naïve. Il fallait summation qu’un message de tolérance et un Ramzy tyrannique pour faire une bonne comédie.
Mignonnes
Maïmouna Doucouré passe à côté de son message et perd l’opportunité de nous présenter un cinema puissant. Car si son long-métrage est engagé, il n’est pas du tout engageant. La réalisatrice se contente en effet d’enchainer des scènes malaisantes et répétitives sans jamais réellement rentrer dans le vif du sujet. Dommage, puisque le casting semblait suffisamment bon pour nous offrir plus qu’un celluloid qui gratte la surface.
Auraient pu y reckoner : La Folie des hauteurs, Eléonore, Connectés
Le height films de Axel PC
Gentlemen
Le retour de Guy Ritchie (débarrassé de ses productions commandées) à ses premiers amours -les films de gangsters où quiproquo, personnages hauts en couleurs et narration énervée sec’agencent en un cocktail rafraichissant et diablement british- psyche enchante méchamment !
1917
Sam Mendes et fifty’incroyable directeur photo Roger Deakins parviennent à créer un évènement cinématographique jamais vu. Expérience immersive incroyable, ce fake design séquence uniquement composé de multiples plans séquences, constitue une oeuvre viscérale qui opère comme une class effrénée inarrêtable, magistrale.
Motherless Brooklyn
Sorti le iv décembre 2019, mais vu en janvier 2020 (donc chut), voilà arrivé dans ce height Motherless Brooklyn, ou « Brooklyn Affairs » en français, de et avec Edward Norton. Polar hard boiled dans la directe lignée de Chinatown ou L.A. Confidential, ce petit bijou policier particulièrement malin et bien ficelé est un must run across pour les fans d’enquêtes crasses en pleine corruption industrielle. Le retour en grande pompe du celluloid noir dans toute sa splendeur, indémodable.
Le flop films de Axel PC
Bloodshot
Vin Diesel premier degré qui joue les super-héros constipés, ça se passe de commentaires. Affligeant.
Birds of prey
L’émancipation de Harley Quinn brain fait doucement rigoler alors que Margot Robbie et ses copines sec’enfoncent dans une suite de clichés et un non-sens cinématographique consternant. C’est crétin, c’est moche, rien n’est bien.
Underwater
Film de scientific discipline-fiction généreusement pompé sur Alien et Abyss, on ne second’attendait pas à voir un machin over patriotique et militariste où les enjeux et conséquences de la découverte d’une vie marine insoupçonnée ne serviraient absolument à rien. Et ce n’est pas Vincent Cassel ou Kristen Stewart qui sauveront ce navire en perdition.
Le meridian films de Nicolas Diolez
Uncut Gems
Film viscéral par excellence qu’on aime ou qu’on déteste. Après le brillant Good Times, le pair des frères Safdie frappe une nouvelle fois fort et signe probablement la plus incroyable séquence finale de cette année Covid.
1917
Un joli exercice de mode qui prend tout son sens par la volonté du cinéaste d’embarquer le spectateur avec lui dans les tranchées de la Première Guerre mondiale. Et puis rien que pour sa séquence dans des ruines de nuit, 1917 vaut son pesant d’or.
Drunk
Par définition, un celluloid avec Mads Mikkelsen ne peut pas être totalement raté. Après la Chasse du même réalisateur, Thomas Vinterberg, ce yoke acteur-cinéaste se retrouve pour un brillant long-métrage sur les bienfaits et les méfaits de l’alcool.
Le flop films de Nicolas Diolez
Tenet
L’idée hybride du réalisateur d’Inception d’associer une trame narrative d’un James Bond des années lxxx avec 50’un de ses fameux concepts tortueux révèlent qu’on ne peut pas tout mélanger dans un film même quand on sec’appelle Nolan. Entre la lourdeur du montage et le ridicule du scénario, on classify de Tenet fatigué et heureux d’en avoir fini.
Et… C’est le seul véritable flop de mon année !